Histoire de Bourges au XIX e siècle - Roland Narboux - Encyclopédie

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L'HISTOIRE DE BOURGES AU XIX e SIECLE
Par Roland NARBOUX

L'histoire de Bourges au XIX e siècle, avec les transformations majeures et surtout l'industrie qui arrive, sans oublier des personnages comme George Sand, Stendhal... et quelques autres.

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Version 2012

 

Le XIX siècle, c'est de 1800 à 1900, on travers sur le plan politiques toutes les périodes, l'Empire, la Monarchie, la République , mais aussi des Révolutions et quelques guerres, bref tout tout tout. Et comme c'est assez compliqué, on va rester sur Bourges.

Comment caractériser la vie de nos Berruyers au cours du XIX e siècle ?

Sous le premier Empire, Bourges qui a environ 16 000 habitants va se singulariser par un ralliement massif à l'Empereur Napoléon 1 er, surtout dans la période des "Cents jours", ce qui valut semble-t-il de sévères sanctions de la part du pouvoir après l'épisode de Waterloo. Aussi, dans les années 1830, la cité est une "ville morte" malgré sa préfecture et son archevêché.

Les 100 jours à Bourges

Commençons par la première restauration qui va d'avril 1814 à mars 1815.

Le 13 avril 1814, se déroule à Bourges une séance très solennelle de la Cour d'Appel qui donna lecture du texte annonçant la déchéance de Napoléon 1 er et appelant au Trône Louis Stanislas Xavier de France, qui prendra le nom de Louis XVIII.
le 30 avril fut publié officiellement l'arrivée en France de ce Roi Louis XVIII .
Ainsi après les années de la Révolution et d el'Empire, le règne des Bourbons reprenait.

Cette restauration de la Monarchie ne fut pas tellement bien accueillie en Berry, où demeuraient vivaces deux souvenirs assez différents : celui, prestigieux de l'Empereur, et celui, détesté, des nobles émigrés.

Quelques temps plus tard, en février 1815, une visite importante à Bourges se déroula avec le duc d'Angoulême qui était le fils du comte d'Artois le futur Charles X, et de son épouse Marie Thérèse, la fille de ... Louis XVI.
Ils étaient cousin et cousine.
Le couple fut accueilli en " grande pompe " à la porte Saint Sulpice (Place Rabelais actuelle), et ils assistèrent à une messe dans la cathédrale.
Ils repartirent le lendemain par la porte d'Auron ;

 

Les 100 jours

C'est le retour de Napoléon de l'Ile d'Elbe, et cette période va du 20 mars au 22 juin 1815, et ... Waterloo, qui se déroula le 18 juin 1815.

Une fédération berruyère de fidélité à l'Empereur existait et elle devint très active dans cette période du retour de l'Empereur.
Ce comité était placé sous la présidence du maire Daniel Mater.

Après Waterloo, une émeute eut lieu à Bourges le 23 juin 1815, avec des " cris menaçants contre les Royalistes et le Clergé ", et près d'un millier de personnes se rassemblèrent devant l'Hôtel de Ville qui était au palais Jacques Coeur.
Frémont écrit que " la nouvelle du désastre de nos armées exaspéra le peuple ".
Les troubles se poursuivirent le 24 et le 25 juin.

En juillet, le calme revint avec l'arrivée du maréchal Davoust, qui fut ensuite remplacé par un berrichon, le général Mac Donald.


Pourtant sous le Premier Empire, la ville reçoit les Etablissements d'Etat comme l'académie d'Université, la Cour de justice, un commandement militaire pour la région et le vaste archevêché est rétabli.

Les anciens monuments sont aussi utilisés à nouveau comme la Justice au Palais Jacques Coeur, la gendarmerie à l'Hôtel Cujas, et la caserne se déploie au grand Séminaire (Condé).

Bourges pendant la première moitié du siècle va continuer à somnoler, c'est une société conservatrice, le 14 juin 1826, le Comte de Bonneval, maire de Bourges reçoit en grande pompe le passage, madame la Dauphine et il demande à chacun de "manifester les sentiments dont vous êtes animés pour le ROI et son auguste Famille".

Bourges pourtant commence à se doter de bâtiments modernes, comme la Halle aux blés pour l'agriculture, vers les années 1832 - 1836.

C'est aussi l'époque du canal de Berry avec un tracé qui date de 1822, et une réalisation terminée en 1843.

Plus tard, la réception du Prince Président, le futur Napoléon III restera dans toutes les mémoires pendant des décennies. Ils étaient 100 000 visiteurs dit-on venus acclamés le futur napoléon II qui dira de belle manière "Je suis venu au centre de la France, j'en ai trouvé le cœur".

 

Une ville calme et paisible, très proche du pouvoir quel qu'il soit. On alterne pourtant un esprit conservateur et rigide avec parfois un libéralisme qualifié de mesuré. Lorsque l'on évoque alors ce type de libéralisme, c'est la course à la richesse.

Les révolutions de 1830, 1848, la Commune ou encore le coup d'état de 1852 sont pour les berruyers des événements lointains. Les grandes manifestations sont surtout verbales. Les républicains se nomment alors Daniel Mater et Michel de Bourges.

On note toutefois quelques actions plus violentes et encore, ce sont les manifestations du mois d'août 1830 devant l'hôtel de Ville, ils étaient 400 vignerons mécontents et le criant.

A Bourges dans le début du siècle, il n'y a qu'une seule usine, c'est la fabrique de draps de Tourangin, des draps de couleur bleue de bonne qualité. Elle fut créée en 1817 et disparut en 1830. Et pendant 10 ans il n'y a aucune usine à Bourges.

Plus tard, l'économie commença à poindre son nez, et des réalisations remarquables furent enfin terminées :

Le canal de Berry, inauguré en 1822, c'était pour beaucoup une véritable aubaine pour la diffusion des produits agricoles du Berry.

En 1846 l'industrie enfin revient, on en manquait depuis les gaulois. C'est le marquis de Vogüe qui fonde les usines de Mazières pas très loin du canal de Berry. Sa fonte moulée devient célèbre dans le monde entier, c'est le début des grandes constructions métalliques, et ainsi les gares de Vienne ou Marseille sont produites, pour les charpentes à Bourges tout comme les halles de Baltard à Paris et celles de Saint Bonnet ... à Bourges.

Mais la vocation militaire de Bourges commence en 1837 avec l'arrivée d'un régiment d'artillerie, les documents nous informent que 1400 hommes s'installèrent dans des casernes à Bourges ainsi que 1300 chevaux. Calculez, 1400 moins 1300, il y a une centaine d'hommes qui n'ont pas de chevaux !

Plus sérieusement, c'est Napoléon III qui permet l'implantation des industries militaires et d'armement avec les premières fabriques de canon dans les années 1870. Le virage de Bourges est donné : pendant 120 ans, les berruyers fabriqueront des armes de toute sorte, de toute forme et pour tous les clients du monde.
La fonderie de canons fut mise en service en 1856 et l'école de pyrotechnie en 1870 après son repli de Metz.

Mais le clou du XIX e siècle, c'est l'arrivée du train en 1847 et l'implantation douloureuse de la gare.
Les berruyers dit-on n'ont pas voulu le train dans leur ville. C'est sans doute une légende plus ou moins colportée pour montrer le caractère un peu rétrograde de nos concitoyens. C'est d'autant plus injuste qu'au milieu de ce siècle, Bourges s'est réveillé et va devenir une grande cité industrielle et commerciale.

Ainsi, le symbole est sans doute la ré-affectation de plusieurs bâtiments religieux ou patrimoniaux pour les céder à d'autres activités.

Dans ce cadre, la ville de Bourges va céder le couvent des Annonciades à l'Etat, lequel va installer sur ce lieu en 1856 une école d'artillerie.

 

La relance économique se poursuit dans des domaines encore plus variés, et touchant le milieu militaire. 90 ouvriers produisent des vêtements militaires dans le quartier saint Médard et au Moulon, en 1882, la manufacture Chollet a embauché plus de 200 ouvriers qui vont produire des chaussures à clous pour l'armée.

L'urbanisme, c'est d'abord la construction de logements pour les ouvriers. C'est par exemple le marquis de Vogüe qui édifie dans le quartier de Mazières une cité ouvrière avec de vastes rues, les maisons de trois pièces étant attribuées à des ouvriers jugés méritants. Il installe aussi un patronage et des structures scolaires. Enfin, il donne à plusieurs rues, le nom de ses filles, Angélique, Ursule….

Vers 1866, la population a presque doublé, elle est de 30 000 habitants.

Les grands boulevard, commencés avec Julien seront réellement effectués par le maire Eugène Brisson à partir de 1878. C'est une grande ceinture identique à ce qui s'était fait à Paris avec Haussmann.

 

Vers la fin du XIX siècle, on construit à Bourges un certain nombre de structures comme :
Les abattoirs en 1864, à l'emplacement du Prado actuel.

Le château d'eau de la place Séraucourt en 1867,

En 1882, l'Eglise historique des Carmes, place Cujas est détruite pour construire l'Ecole des Beaux Arts. (elle-même détruite en 1976).

Le marché couvert place Saint Bonnet, réalisé à l'identique des halles de Baltard à Paris et avec les pièces métalliques sorties tout droit de Mazières.

Enfin, en 1882, la prison du Bordiot , une prison qui devait être selon les spécialistes de l'époque, un lieu de méditation et d'amendement.

La rue Moyenne devient la grande artère de Bourges avec le percement complet vers le sud, c'est à dire vers la place Séraucourt et la destruction de plusieurs maisons situées vers l'emplacement actuel de la nouvelle mairie et du square Victor Hugo. Elle prend la configuration actuelle en 1898.

 

1847, inauguration du Chemin de Fer Paris-Vierzon-Bourges.

L'ouverture au public de ce chemin de Fer dit l'Orléans ou du Centre se déroula le 20 juillet 1847. Avant l'inauguration officielle eut lieu le 29 juin 1847. Ce jour-la, le Préfet du Cher et le Maire étaient dans un wagon de voyageurs, accompagné de 26 wagons de farine, 2 plateformes de charpente, 2 wagons de voyageurs fermés et deux autres wagons de voyageurs, pas fermés. A l'arrivée à Bourges, le Cardinal Dupond siégeait sur un trône pontifical, et il bénit le convoi entouré de la Garde Nationale, musique en tête.
Le trajet de 268 kilomètres avait été fait en 5 heures ce qui n'est pas mal.

Ensuite, quatre locomotives furent aussi bénies par le Cardinal, elles avaient pour nom, l'Ours, le Sanglier, la Gazelle et le Cerf. Et enfin, le cortège s'ébranla à pied en direction de la cathédrale.


Les personnages à Bourges

Le XIX e siècle vit passer de grands personnages qui sont restés dans nos mémoires et d'autres moins connus, c'est le cas du général Petit.

Le général Petit

Rappelons que le général Petit est celui qui présenta dans la cour du château de Fontainebleau le drapeau français à Napoléon 1 er alors que celui-ci s'apprête à rejoindre l'île d'Elbe. Il reçut l'accolade de la part de l'Empereur.

En août 1830, le général Petit devint commandant de la 15 e région militaire et donc arriva à Bourges. C'était le début du règne de Louis-Philippe.
Au cours de son séjour à Bourges, le général Petit maria sa fille, elle se prénommait Rose, Eugénie, Claire. Le mariage se déroula le 10 septembre 1832, il avait convié de nombreuses personnalités locales, le " Tout-Bourges ", mais aussi le professeur de piano de sa fille qu'il mariait et ce prof n'était autre que Franz Liszt qui commençait à être très connu et dont rapporte-t-on les excentricités ébahirent les gens présents à la noce.

Stendhal a Bourges

Parmi les personnages qui vinrent à Bourges, écrivirent sur Bourges et laissèrent parfois un goût d'amertume, figure Henri Beyle, que l'on connaît davantage sous le nom de Stendhal.

Il passa à Bourges en 1837 lors de son périple en France qu'il décrivit dans son livre "Mémoires d'un Touriste", un ouvrage important pour le XIX siècle, d'autant plus que Stendhal est le créateur du mot "touriste".

Le périple de Stendhal est assez curieux, nous ne savons pas quel guide de voyageur il avait utilisé. Mais voici son périple : Montargis, Nevers, Moulins, Autun, Langres et Dijon, là, il décide de prendre un bateau et par la Saône il va à Lyon. Après une visite de la cité, il reprend le bateau cette fois sur le Rhône et descend sur Valence. Il reprend la diligence pour Brioude, Clermont Ferrand, La Charité et arrive à Bourges.

Le voyage s'est déroulé du 9 avril au 19 juin 1837.

Avant Bourges, dans sa diligence, ce 24 mai il écrit : "Cheminant à travers la plus triste des plaines…. J'ai aperçu de loin la tour de la fameuse cathédrale de Bourges. Cette tour, objet de tous mes vœux, a disparu derrière les plis du terrain….".

A Bourges comme de nombreux voyageurs illustres, il descend au Bœuf Couronné, une auberge située rue des rats aujourd'hui rue de la Taumassière.

Il quitte en fin d'après midi son hôtel :


"J'étais étouffé par le sentiment de la petitesse bourgeoise… Je suis sorti de l'auberge, jurant tout haut, je l'avoue contre les provinciaux. Je voulais aller à la cathédrale… Je me suis mis à remonter le cours des ruisseaux, au milieu de ces tristes rues formées tantôt par des murs de jardin, tantôt par des mesquines maisons à deux petits étages. "

Et il poursuit :


"Au bout de cinq minutes, je me suis trouvé au pied de la tour carrée de la cathédrale… Par bonheur, la porte de la cathédrale était encore ouverte. Il était presque nuit ; je me suis hâté d'entrer dans l'église de peur qu'on ne la fermât ; en effet, comme j'entrais, on allumait deux ou trois petites lampes dans ce vide immense….
Je l'avoue, j'ai éprouvé une sensation singulière ; j'étais chrétien… Pendant une bonne heure, mon âme n'a plus senti tout ce qui la martyrisait à coup d'épingle depuis mon arrivée à Bourges… J'éprouve l'impossibilité complète de donner une idée de cette église, que pourtant je n'oublierai jamais.
Tout ce que je puis dire de l'intérieur de cette vaste cathédrale, c'est qu'elle remplit parfaitement son objet. Le voyageur qui erre entre ses immenses piliers est saisi de respect : il sent le néant de l'homme en présence de la divinité".

 

Stendhal visita encore Bourges, au palais Jacques Cœur, il admira les peintures du plafond de la chapelle, qui représentent "des figures d'anges qui semblent d'une miraculeuse beauté", puis dans le domaine des bonnes surprises, il poursuivit son chemin vers l'hôtel des frères Lallemant et il trouva "cette maison encore plus jolie que celle de Jacques Cœur. C'est un charmant petit chef d'œuvre, c'est l'architecture de la Renaissance dans toute sa gloire".

Par contre il fut surpris par le "bric à brac du musée du Berry" situé alors à la place de l'hôtel d'Angleterre. Quant à la bibliothèque municipale, il ne compta que 3 lecteurs, se demandant si les berruyers savaient lire ? Par contre il remarque le bibliothécaire qui est jugé par Stendhal "fort capable" ce qui est un exploit dans la bouche du voyageur. Cet homme était Chevalier de Saint Amand.

Il ne gardera pas de Bourges un souvenir impérissable, dans ses promenades de fin d'après midi, il va se perdre dans les rues courbes comme la rue de Paradis, et sera remis sur le bon chemin par jovial ivrogne. Le souper qui lui est servi est qualifié d'exécrable et le café au lait à base de chicorée le lendemain matin n'a pas sa faveur.

Il passe beaucoup de temps entre la cathédrale et le jardin de l'archevêché dont il admire les bancs qui sont "fort commodes et identiques à ceux de Londres".

George Sand à Bourges

George Sand, la bonne dame de Nohant est venue à Bourges à de nombreuses reprises, on trouve dans plusieurs de ses romans, l'ambiance de la ville dans la première moitié du XIX e siècle.
Dans Jehan Cauvin, elle écrit sur l'atmosphère de Bourges :

" Ville de souvenirs et de rêverie, muette comme l'oubli, éloquente comme la mémoire, douce à l'homme qui dort, chère à celui qui pense ; des rues où croissent paisiblement la folle avoine aux franges de soie et le chardon à la tête légère ; des maisons belles et riches mais cachées derrière de mystérieux jardins, et à chaque pas une tête gothique sculptée sur le bois d'un pignon du Moyen Age, un écusson aux armes effacées ou un fronton aigu porté sur des monstres couverts d'écailles".

Georges Sand évoque aussi en 1831 dans d'autres écrits la cathédrale Saint Etienne :


"Savez-vous que votre cathédrale est une des plus belles choses qui soient au monde ? L'intérieur est ce que j'ai vu de plus admirable dans ma vie.
Mon Dieu, les belles colonnes, la belle voûte, les beaux vitrages, les belles sculptures."

Dans un autre courrier, elle écrit encore à propos de la cathédrale :


"J'y suis entrée pendant la grand messe et j'ai fait des exclamations à scandaliser tous les fidèles… L'église souterraine n'est pas moins admirable que le reste….. La scène qui représente le cadavre de Jésus entouré de bonnes femmes et de bonshommes en pierres peintes est si vivante, si fantastique, si mystérieusement éclairée qu'il y a de quoi rendre fou de terreur un pauvre romantique qu'on enfermerait là sans le prévenir."

 

Franz Liszt et Marie d'Agoult au pied de la cathédrale

Franz Liszt viendra, après 1832, une seconde fois à Bourges. C'était en juillet 1837, il venait de Nohant où il avait passé 3 mois chez George Sand en compagnie de la comtesse Marie d'Agoult.
Il dictera à Marie d'Agoult ses pensée face au monument :


"La cathédrale de Bourges est le monument gothique le plus parfait que je connaisse. En y entrant, je fus saisie de respect et comme enveloppée du sentiment de l'infini. C'est bien là le temple chrétien : l'homme y est tout petit et le Dieu d'y cache dans des profondeurs mystérieuses."

"Un instant, des rayons du soleil couchant réfractés par les vitraux gothiques teignirent des voûtes de nuances violettes et pourprées qui, en voilant les contours et les rudesses des lignes, élevaient au-dessus de nos têtes un dôme fantastique d'éther et de lumière."

A suivre

 

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